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La planète des singes, vision féminine

 

Après les poissons, les singes

Nous voila arrivés à Senaru. Nous atterrissons dans un petit hôtel sympathique où de charmants singes peuplent la forêt alentour et viennent nous tenir compagnie pour le plus grand plaisir des enfants. Quoique finalement le plaisir n’ait pas duré bien longtemps et ait cédé la place à la crainte.

En effets ces singes n’hésitent pas à montrer les dents pour impressionner et à venir chiper sans aucun scrupule tout ce qui traine sur la terrasse. Candice en a fait les frais en se faisant piquer un biscuit. Donc autant vous dire que les enfants n’ont pas trainé très longtemps sur cette même terrasse !!!!!

Stéphanie

Quelles dents

La première fois que j’ai vu un singe, il était sur le toit d’une maison. Un groupe de singes est arrivé et j’ai voulu prendre des photos mais j’ai eu peur car un singe a voulu attaquer une dame qui prenait des photos. Il a montré ses dents .Ca fait peur !!! 10 minutes après il revient. On rentre en courant dans la chambre (maman aussi), il n’y a que papa qui reste dehors. Le singe nous pique un gâteau, c’est un vrai chipeur !!! Il veut même prendre l’appareil photo; papa dit « ca ne se mange pas » le singe ferme et rouvre la bouche tout de suite, papa dit dix fois : « ca ne se mange pas ».

J’ai peur des singes sauf des bébés !!!

Candice

Premiers pas au coeur de l’Indonésie

On s’est fait plaisir à Kuta où nous avons tous gouté aux joies du surf (enfin pour ma part, si on peut appeler surfer les vaines tentatives de se lever sur la planche et une brève station debout  dans un style qui aurait fait pâlir de jalousie Kelly Slater).
On s’est fait plaisir à Gili, des iles presque paradisiaques où le snorkling, la piscine et la plongée remplissaient le difficile programme de nos journées.
Mais après avoir passé 10 jours dans des zones touristiques, nous décidons de  continuer notre découverte de l’Indonésie en sortant des sentiers battus . Nous allons sur l’ile de Lombok. Lombok est une ile à l’est de Bali un peu moins envahie par les hordes de touristes. Direction le nord de l’ile à Senaru un petit village en pleine montagne qui est le point de départ des treks vers le volcan Rinjani.
Pendant qu’Adrien part se faire plaisir sur le volcan,  nous arpentons  avec les enfants les environs du village entres cascades et rizières.
Avec notre guide Cario, nous sommes allés jusqu’aux pieds de deux cascades. 3 heures de randonnée le long des canaux d’irrigation des rizières puis dans la forêt avec pour but la baignade dans la cascade Tiu Kelep. En fait de baignade, on fait un rapide aller-retour sous la chute d’eau dans une eau glacée. On est solidaire avec vous. Nous aussi nous avons froid parfois !!!!!
Nous avons fait de belles balades dans cette région, mais depuis le début du voyage c’est la première fois que je suis confrontée à des problèmes de communication. Dans les zones touristiques, nous rencontrions toujours  des gens qui parlaient anglais, mais dans les villages, une fois sortis de l’hôtel, le bahasa indonesia devient indispensable. Et là c’est difficile. Notre niveau dépasse à peine « bonjour » et « merci ».  J’ai donc subi mes premières frustrations quand, à plusieurs reprises, des cultivateurs qui sortaient des rizières se sont arrêtés pour discuter. Nous sommes restés 5 minutes à essayer de communiquer entre gestes et sourires, mais pas c’était difficile d’exprimer ce que je voulais.
Conclusion, c’est à moi de m’adapter alors je bosse le bahasa indonesia !!!!!

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Redépart en Indonésie

On n’a pas été trop prolifique ces derniers temps pour pleins de raisons. L’une d’elles est qu’on a totalement changé de voyage en se posant près de la vague de Kuta puis sur les Gili avec nos copains grenoblois. Ambiance vacances. Un besoin , du plaisir et peu d’engagement.

Depuis vendredi, on a repris la route tous les 5 vers un volcan puis à Mataran, capitale de Lombok. On doit passer 3 jours ici pour prolonger nos visas.

L’inertie est forte, se remettre sur la route en laissant les vagues se dérouler, les poissons se baigner n’est pas une mince affaire dans un monde différent qui ne parle pas espagnol. On avait choisi un choc de culture et de rythme, on l’a.

Bref , il faut à nouveau trouver nos marques en Indonésie et dans la famille. On vit actuellement plus une expérience plus que des vacances.

On cherche l’itinéraire intérieur et extérieur pour aller chercher la prochaine balise.

On doit reposer les fondamentaux pour rejouer.

La suite bientôt.

 

Bali autre monde.

Après ces quelques articles, nous revoilà dans le monde de l’actualité, nous sommes depuis dimanche dernier à Bali, où on décompresse avant de repartir à l’aventure.

Conditions actuelles :

Hôtel : piscine, + clim + 4 lits + 2 chambres + parc + calme + wifi + 10 min de Kuta beach

Kuta beach : Vague de rêve pour débuter et pour tuber en Surf, matin et soir on est dans l’eau

Voisins : nos voisins de bungalow sont français et font un tour du monde dans l’autre sens, 2 enfants

On sait que kuta ce n’est pas Bali mais pour l’instant on ne met pas le nez dehors.

 

Balise N°8 : 4 avril, journée éruptive à Tanna.

On est à Port Résolution, baie magique où James Cook à redécouvert le Vanuatu. Et tout tout nauturelement ( ou presque ), la journée commence par un conseil de famille pour que chacun explique ses difficultés actuelles dans le voyage, la tension est trop forte. L’énervement de chacun induit des éruptions pénibles pour tous. Ici doivent se prendre de bonnes résolutions.

Après deux semaines au Vanuatu, on vient de perdre notre première bataille contre les moustiques, éruptions boutonneuses sur les 3 petits, ça ne va pas les calmer… Heureusement, les anophèles (moustiques porteurs du palu ) ne piquent que le soir et sont facilement repérables, ce ne sont pas ceux qui ont gagné cette bataille.

La fin de la journée va être meilleure, on monte sur le Yasur, poinçon de la balise 8.

J’hésitais entre les galeries photos : éruption des parents, des boutons de moustiques et du Yasur, je n’ai mis que la dernière faute de place sur le serveur informatique…

Malo, par Stéphanie

Pendant qu’Adrien part sur les traces de son passé à Saranawuswus, avec les enfants on continue l’exploration du Vanuatu avec le thème « les prénoms des enfants ».

Je m’explique : Candice, Vaïk et Elian ont tous les trois un deuxième prénom qui fait référence au Vanuatu.

  • Candice c’est Sarakata, le nom d’une belle rivière de l’île de Santo, rivière dans laquelle nous sommes allés nager et jouer à tarzan. Elle donne aujourd’hui l’énergie de Luganville.
  • Vaïk, c’est Malo, du nom d’une île au sud de Santo, en face de l’embouchure de la Sarakata, sur laquelle il y a plein de légendes.
  • Elian c’est Vao, le nom d’une autre île à côté de Malo, connue pour sa culture, en particulier Masques et Langues parlées.

D’ailleurs depuis notre arrivée au Vanuatu, on ne les appelle plus que Vao, Malo et Sarakata.

Nous sommes donc tous les 4 partis pour découvrir l’île de Malo.

Après une heure de bateau nous voila en vue de Malo. Vaïk est content et c’est le premier à fouler  le sol de cette fameuse île à laquelle il doit son nom.

On a débarqué sur la plage du village de smol nanugo. Sur la plage des femmes  discutent devant leurs maisons. Elles nous invitent à se joindre à elles et nous installent des nattes pour que nous soyons à l’aise. Nous venons de faire le connaissance d’Emma et de sa fille Ivana, de Marveline et de sa fille Angelina et d’Elizabeth.

On se présente et les prénoms des enfants suscitent des rires et des exclamations.

On partage notre pique-nique et elles nous offrent des noix de coco et du pain local qu’Elizabeth fait dans sa maison et vend aux villageois. On mange en discutant de la vie sur Malo. La plupart des habitants sont agriculteurs et vont vendre leur récolte sur l’île de Santo.

A la fin du repas, Emma, Marveline et la dizaine d’enfants  qui sont arrivés petit à petit nous entrainent dans l’eau. Nous passons l’après midi à nous baigner dans une eau transparente. Les enfants sont fiers de nous montrer des étoiles des mers, des oursins, le corail. Candice une fois de plus disparait avec un groupe de filles !!!!

Avant de partir, Emma nous fait visiter son village en nous précisant qu’il y a une maison d’hôte si on veut rester dormir. Une autre fois peut être, mais c’est vrai que vu la beauté du village et l’accueil, cela donne envie de rester.

Un gros poisson…

Notre gros poisson a donc bien plu à la vue du nombre de commentaires et de courriels reçus…

C’est plus que pour le petit blond et le puma en argentine.

En synthèse, vous voulez des émotions fortes !!!!

 

Pour celles et ceux qui ont acheté les billets d’avion, désolé,

pour se donner bonne conscience on a avait mis des petits bouts de poisson dans le texte…

 

Bref , je suis bien allé voir le chef Ropet qui est revenu avec moi en ville, il voulait voir la famille et notre avion décoller.

On part pour 4 jours à la balise 8, voir le volcan Yasur et des petits poissons.

On va se poser dans des bungalows et préparer les articles en retard, il n’y aura pas internet…

 

 

 

Notre camping-car, bien plus qu’une coquille d’escargot.

Ne sachant pas comment tenir un an de voyage itinérant avec 3 enfants, on avait décidé de trouver sur la moitié du parcours un camping-car. Après des recherches vaines par internet directement en amérique du Sud, on a trouvé, grâce à Vaïk, la maison roulante rêvée à Chambéry ( Camping-car du Marais ).

On se l’ai approprié à la maison : aménagement, nuits de test, puis il a, petit à petit, pris une place croissante :  base-vie des anniversaires, voiture des mariés, tableaux de nos rêves grâce à Thomas.

En voyage, il fut non seulement notre coquille d’escargot, témoin de l’intimité familiale, mais aussi un lieu social de partage par sa crêperie du dimanche soir.

Pour fermer la page de cette première partie de voyage, un souvenir en 20 photos et l’ultime vidéo.

La vidéo en cliquant ici

Vacances bientôt la fin, résultat du Quizz

On avait prévu plein de truc à faire pendant les vacances et bien rien du tout excepté piscine, école et prospection pour la vente du CC.

Piscine : au top Vaïk nage presque, Candice se met au crawl, Elian adore l’eau

Ecole : math TB , francais un peu dur , on prévoit de vous transmettre les bulletins trimestriels…demain

vente du CC : en bonne voix cible de la séparation fin février.

On part quand même demain de notre oasis, direction la bolivie.

Pour le quizz, et oui on ne peut pas tout prévoir en voyage, elle a bien pris le livre de « médecine en voyage » sur la tête, le comble est que le sang a collé la page  » Blessure frontale « …. Bien joué à tous..

Category: Stéphanie  3 Comments

Quizz, mais qu’est il arrivé à Stephanie.

 

Vous pouvez voir 2 sterilstrip sur le front de Stéphanie, rassurez-vous , elle va mieux et comme elle a été bien soignée par toute la famille , elle ne devrait pas avoir de cicatrice physique. Mais quelle est la cause de cette blessure frontale ????

Alors à vos portables et tapez :

1    Stéphanie a été attaquée car elle marchandait trop violemment l’achat d’un melon.

2    Stéphanie s’est battue avec le petit blond …

3   En altitude, le cerveau humain est plus irrigué et donc augmente de volume dans un espace fermé, donc mal de crane pour ceux qui ont la chance d’avoir un gros cerveau. Une faille s´est ouverte pour relacher la pression intra crânienne, à 5 300 m.

4   Stéphanie a reçu sur la tête le livre  » La Médecine en voyage », tombé de la bibliothèque du camping-car à cause de la mauvaise piste.

5   Elian ( le petit blond ) est tombé sur la tête, elle a mis un strip pour faire comme lui et lui faire plaisir.

A gagner : Un ceviche maison.

 

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