Une course à pied semble s’organise à 50 m du parking où on s’est arrêté, Stéphanie se renseigne le départ est imminent, elle me passe l’info.
15 minutes plus tard me voilà entrain de courir un 8km en Patagonie en hommage à un certain Miguel Sanchez coureur disparu avec 33 000 autres argentins du temps de la dictature. Les réponses sont toujours en attente, les mères tournent toujours le jeudi place de mai à Buenos Aires. Le discours du speaker est fort. Pendant la course, c’est une sensation étrange d’effort mêlé, à l’anonymat total, à un contexte historique et le plaisir d’être en Patagonie et de voir des baleines au fond de la baie.
Ca te ressemble bien de donne du temps et coeur.C’est aussi une belle raison et super que le concours de circonstances vous ai posé là.Pas trop de courbatures….tu vieillis….hihihi.