On est à 36 h du départ, à Paris sur le pas de tir. Ma mère compose entre nos sauts d’humeur, les repas et son stress de ne pas revoir ses petits enfants avant longtemps.
La todolist se raye au fur mais elle repousse sans cesse, tout ne sera pas bouclé, c’est maintenant certain. Est – ce grave ? Je trouverai bien des arracheurs de dents quelques part si ça persiste.
Pascal, avec ton Lethermann tu crois que Stéphanie pourrait s’en sortir en tirant bien fort ?
Le pic de douleur est-il passé, 3 instants de plaisir dans la journée et un sentiment d’apaisement :
- L’achat de chasubles pour les Rdejeux m’a fait passer pour un prof de gym l’espace d’un instant.
- L’achat d’un bidon étanche de kayak qui nous servira de machine à laver dans le CC nous a permis de rentrer dans un magasin pro, comme si on était de la famille de Tony Estanguet.
- Vaïk qui a pris son sac à dos et a salué tout le monde, il est le premier à avoir pris l’avion, s’en est suivi une belle séance de photos.
Bon, on va y aller quand même.
Je suis rassurée de lire que même avec quelques sacs plastiques en plus, vous allez quand même prendre l’avion.
Nous, on a fait du kayak à proximité du champion du monde de descente et c’était en Ardèche…vous croyez vraiment que c’est nécessaire d’aller si loin? (!
bon voyage, con papas fritas!